Voici ma sélection des articles publiés la semaine du 13 au 20 février 2017 dans le domaine des neurosciences.
Semaine de Saint Valentin oblige, voici un article qui s’intéresse à ce qui se passe à l’intérieur d’un cerveau amoureux. Et surprise intéressante, des réponses peuvent se trouver en étudiant le cerveau des pigeons.
Les animaux de compagnie seraient capables de juger la moralité de leur maître. Selon des études récentes, les chiens auraient une préférence pour les humains traitant bien les autres humains (en anglais).
Etudier le développement précoce du cerveau des nouveau-nés pourrait permettre de diagnostiquer des cas d’autisme. Des chercheurs ont montré qu’un développement trop rapide serait lié à l’apparition de ce trouble pathologique.
Une nouvelle étude met une fois encore en avant le fait que le jeu de tête des footballeurs exposerait ces sportifs à davantage de risque de maladies neurologiques et neurodégénératives.
Souffrir de trouble de l’attention se voit dans le cerveau. Selon une équipe de recherche, les personnes atteintes de ce type de pathologie aurait un cerveau dont la structure est différente.
Une nouvelle technique d’imagerie cérébrale pourrait permettre de découvrir le cerveau de façon beaucoup plus détaillée et en pleine action. Décrite au cours d’une conférence, il faudra attendre encore un peu avant de pouvoir exploiter cette avancée.
Et pour finir, il y a quelques semaines, dans la sélection cérébrale (numéro 131), je revenais sur la manière dont les chercheurs américains organisent leur riposte face au comportement plus qu’inquiétant de Donald Trump face à la science. A la suite de cette mobilisation locale, une marche internationale s’est organisée pour défendre la science et la recherche. La « marche pour la science » aura lieu le 22 avril et chez nous, cette manifestation est soutenue par les grandes institutions scientifiques françaises.
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Bruno Sousa – Silhouette of Couple in a Sunset View (2016). https://unsplash.com/photos/aWpkc_grgzo