Au niveau cérébral, lire de la poésie, ce n’est pas seulement lire une suite de mots, mais quelque chose de bien plus puissant émotionnellement comme peut l’être l’écoute de la musique.

William Shakespeare a écrit “La poésie est cette musique que tout Homme porte en soi” et il semblerait que scientifiquement cela soit effectivement le cas.

Chronique diffusée le 2 février 2017. L’ensemble des chroniques est accessible sur une playlist dédiée.

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Pour aller plus loin :

« Science décalée : la poésie, une douce musique pour le cerveau », par Janlou Chaput. Publié sur Futura sciences, le 13/10/2013. Consulté le 12/10/2017. Lien : http://www.futura-sciences.com/sante/actualites/sante-science-decalee-poesie-douce-musique-cerveau-49572/.

« IRM fonctionnelle : trop de faux positifs », par Martin Tiano. Publié sur Pour la science, le 13/10/2013. Consulté le 30/08/2016. Lien : http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actu-irm-fonctionnelle-trop-de-faux-positifs-avec-le-traitement-des-donnees-37405.php.

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Sources :

Kane J. (2006). Poetry As Right-Hemispheric Language. Journal of consciousness studies, 11 (5-6) : 21-59.

Liu S. et al. (2015). Brain activity and connectivity during poetry composition : toward a multidimensional model of the creative process. Human brain mapping, 36 (9) : 3351-3372.

Obermeier C. et al. (2013). Aesthetic and emotional effects of meter and rhyme in poetry. Frontiers in psychology, 4 (10) : 1-10.

Vaughan-Evans A. et al. (2016). Implicit detection of poetic harmony by the naïve brain. Frontiers in psychology, 7 (1859) : 1-7.

Zeman A. et al. (2013). By heart – an fMRI study of brain activation by poetry and prose. Journal of consciousness studies, 20 (9-10) : 132-158.

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Source image :

Jose Antonio Alba – Leaves books color coffee cup (2014). https://pixabay.com/en/leaves-books-color-coffee-cup-1076307/

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