Voici ma sélection des articles publiés la semaine du 25 septembre au 2 octobre 2017 dans le domaine des neurosciences.

Chez les enfants, notamment en surpoids, la pratique sportive permettrait une perte de poids, mais également une amélioration des performances cognitives.

Une maltraitance durant l’enfance pourrait laisser des stigmates durables dans le cerveau en altérant la structure et le fonctionnement du cortex cingulaire antérieur, région cérébrale impliquée dans la régulation des émotions et de l’humeur.

Voici la description du syndrome des mouvements en miroir, un trouble neurologique d’origine génétique empêchant la personne qui en est atteinte de réaliser un mouvement avec une main sans que l’autre ne l’imite.

Les méduses auraient également besoin de sommeil. C’est ce que rapporte une étude récente montrant que la présence d’un système nerveux centralisé, ne serait pas obligatoire pour accomplir ce comportement.

Lorsque le cerveau entre en communication – via son activité électrique – avec un dispositif électronique externe, cela se nomme une interface cerveau-machine. Loin des scénarios de science-fiction, les avancées dans ce domaine de recherche sont fascinantes.

L’absence d’un sens n’aiguiserait pas les autres. Mais une sollicitation plus importante de l’un d’eux le rendrait plus performant grâce à un processus d’apprentissage.

Avant de finir, voici une critique cinglante des expériences scientifiques aux sujets douteux et aux titres racoleurs.

Pour finir, cette semaine avait lieu l’annonce du prix Nobel de médecine/physiologie. Les lauréats sont cette année récompensés pour la mise en lumière des mécanismes permettant la régulation de notre horloge biologique.

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