Voici ma sélection des articles publiés la semaine du 16 au 23 octobre 2017 dans le domaine des neurosciences.

Tout comme chez l’homme et le rat, le sommeil favoriserait la consolidation de la mémoire du chien.

Des chercheurs auraient identifié une cause anatomique potentielle de la dyslexie. Ce trouble de la lecture pourrait prendre sa source directement au niveau de l’organisation des photorécepteurs – cellules sensibles à la lumière – de la rétine.

Grandir dans un environnement précaire aurait des conséquences sur le long terme en favorisant un enfantement tôt dans la vie et un désintérêt pour sa santé.

Il est parfois complexe de savoir si une personne incapable de communiquer est bel et bien consciente. Des travaux récents montrent que la modification des battements cardiaques en réponses à une stimulation sonore pourrait être un très bon indicateur de cet état de conscience.

Avant de finir, voici un article traitant de la synesthésie, cette capacité associant plusieurs sens pour créer une perception différente. J’ai déjà abordé ce même thème dans un article et une chronique de mon podcast.

Finissons avec le récit incroyable de cette femme souffrant à la fois du syndrome de Capgras (conviction voulant que des personnes de l’entourage du patient aient été remplacé par des sosies) et du syndrome Cotard (conviction voulant que le patient se croit mort).

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