Entre une assiette de choux de Bruxelles et une tartine de Nutella, choisir l’aliment le plus sain est parfois difficile, cette décision serait même plus ou moins complexe en fonction des personnes et de l’anatomie de certaines régions cérébrales.

Avoir une alimentation saine pourrait dépendre de la quantité de neurones présente dans deux régions cérébrales bien précises.

Chronique diffusée le 23 juin 2018. L’ensemble des chroniques est accessible sur une playlist dédiée.

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Pour aller plus loin :

« Nos choix alimentaires prédits par l’anatomie de notre cerveau ». Communiqué de presse publié par l’INSERM, le 07/06/2018. Consulté le 29/06/2018. Lien : https://presse.inserm.fr/nos-choix-alimentaires-predits-par-lanatomie-de-notre-cerveau/31601/.

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Sources :

Camille N. et al. (2011). Ventromedial frontal lobe damage disrupts value maximization in humans. Journal of neuroscience, 31 (20) : 7527-7532.

Camus M. et al. (2009). Repetitive transcranial magnetic stimulation over the right dorsolateral prefrontal cortex decreases valuations during food choices. European journal of neuroscience, 30 (10) : 1980-1988.

Hare T.A. et al. (2009). Self-control in decision-making involves modulation of the vmPFC valuation system. Science, 324 (5927) : 643-646.

Hutcherson C.A. et al. (2012). Cognitive regulation during decision making shifts behavioral control between ventromedial and dorsolateral prefrontal value systems. Journal of neuroscience, 32 (39) : 13543-13554.

Kable J.W. et Glimcher P.W. (2007). The neural correlates of subjective value during intertemporal choice. Nature neuroscience, 10 : 1625-1633.

Schmidt L. et al. (2018). Neuroanatomy of the vmPFC and dlPFC predicts individual differences in cognitive regulation during dietary self-control across regulation strategies. Proceedings of the national academy of sciences, in press : 3402-3417.

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Source image :

Daria Yakovleva – Salad background food (2017). https://www.pexels.com/photo/food-on-table-326278/

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