Les résultats d’imagerie cérébrale permettent d’obtenir de très belles images, mais sans un minimum de précaution, il est possible de trouver de l’activité cérébrale chez un saumon mort.

Sans faire appel à des notions de métaphysique, dans certaines conditions, un saumon mort peut continuer à avoir une activité cérébrale.

Chronique diffusée le 17 février 2018. L’ensemble des chroniques est accessible sur une playlist dédiée.

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Pour aller plus loin :

« A quoi peut bien penser un saumon mort ? », par Pierre Barthélémy. Publié sur Le monde, le 27/09/2012. Consulté le 23/02/2018. Lien : https://www.lemonde.fr/sciences/article/2012/09/27/a-quoi-peut-bien-penser-un-saumon-mort_1766935_1650684.html

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Sources :

Bennett C.M. et al. (2010). Neural correlates of interspecies perspective taking in the post-mortem atlantic salmon : an argument for proper multiple comparisons correction. Journal of serendipitous and unexpected results, 1 (1) : 1-5.

Chumbley J.R. et Friston K.J. (2009). False discovery rate revisited : FDR and topological inference using gaussian random fields. Neuroimage, 44 (1) : 62-70.

Friston K.J. et al. (1996). Detecting Activations in PET and fMRI : levels of inference and power. Neuroimage, 4 (3) : 223-235.

Genovese C.R. et al. (2002). Thresholding of statistical maps in functional neuroimaging using the false discovery rate. Neuroimage, 15 (4) : 870-878.

Logan B.R. et al. (2008). An evaluation of spatial thresholding techniques in fMRI analysis. Human brain mapping, 29 (12) : 1379-1389.

Worsley K.J. et al. (1996). A unified statistical approach for determining significant signals in images of cerebral activation. Human brain mapping, 4 (1) : 58-73.

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Source image :

DanaTentis – Sardines poissons alimentaire (2016). https://pixabay.com/fr/sardines-poissons-alimentaire-plaqué-1489630/

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