Toxoplasma gondi, le parasite cérébral qui pourrait modifier le comportement humain et faire aimer les chats.

Il est probable que vous connaissiez quelqu’un dans votre entourage ayant un chat ou que vous-même en possédiez un. Ce bel animal à la fois domestique et sauvage inspire contemplation et tendresse. Mais l’attitude que vous avez envers les chats est-elle naturelle ? Cette attitude est-elle spontanée ? Ou au contraire, est-elle provoquée  ? Car, il se pourrait que l’attrait, l’attirance que vous éprouvez pour cet animal provienne en réalité d’un parasite microscopique logé dans votre cerveau guidant votre comportement.

Chronique diffusée le 13 octobre 2018. L’ensemble des chroniques est accessible sur une playlist dédiée.

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Pour aller plus loin :

Kerner P. (2018). Moi, parasite. Belin, Paris.

« L’image de la semaine : “Toxoplasma gondii, manipulateur de notre cerveau” », par Alexandra Gros. Publié sur Aux frontières du cerveau, le 27/02/2017. Consulté le 23/10/2018. Lien : https://lejournal.cnrs.fr/nos-blogs/aux-frontieres-du-cerveau/limage-de-la-semaine-toxoplasma-gondii-manipulateur-de-notre.

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Sources :

Flegr J. et al. (2011). Fatal attraction phenomenon in humans – Cat odour attractiveness increased for Toxoplasma-infected men while decreased for infected women. Plos neglected tropical diseases, 5 (11) : 1-8.

House P.K. et al. (2011). Predator cat odors activate sexual arousal pathways in brains of Toxoplasma gondii infected rats. Plos one, 6 (8) : 1-4.

Poirotte C. et al. (2016). Morbid attraction to leopard urine in Toxoplasma-infected chimpanzees. Current biology, 26 (3) : 98-99.

Vyas A. et al. (2007). Behavioral changes induced by Toxoplasma infection of rodents are highly specific to aversion of cat odors. Journal of experimental psychology : animal behavior processes, 104 (15) : 6442-6447.

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Source image :

Cocoparisienne – Animal pet fur head (2015). https://pixabay.com/en/cat-animal-cat-portrait-mackerel-1045782/

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