Placé face à un choix, il semblerait qu’avoir peu d’option ne soit pas idéal, mais en avoir trop ne serait pas bon pour autant.

Que se passe-t-il dans le cerveau en fonction du nombre d’option possible face à un choix ?

Chronique diffusée le 26 janvier 2019. L’ensemble des chroniques est accessible sur une playlist dédiée.

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Pour aller plus loin :

« La charge mentale de l’hypermarché », par Sébastien Bohler. Publié sur Cerveau et psycho, le 21/11/2018. Consulté le 04/02/2019. Lien : https://www.cerveauetpsycho.fr/la-charge-mentale-de-lhypermarche-14895.php.

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Sources :

Chernev A. (2003). When more is less and less is more : the role of ideal point availability and assortment in consumer choice. Journal of consumer research, 30 (2) : 170-183.

Iyengar S.S. et Lepper, M.R. (2000). When choice is demotivating : can one desire too much of a good thing ? Journal of personality and social psychology, 79 (6) : 995-1006.

Reibstein D.J. et al. (1975). Number of choices and perceived decision freedom as a determinant of satisfaction and consumer behavior. Journal of applied psychology, 60 (4) : 434-437.

Reutskaja E. et al. (2018). Choice overload reduces neural signatures of choice set value in dorsal striatum and anterior cingulate cortex. Nature human behaviour, 2 : 925-935.

Steiner I.D. (1970). Perceived freedom. Advances in experimental social psychology, 5 : 187-248.

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Source image :

Guillermo Gavilla – Vegetable lot (2016). https://www.pexels.com/photo/abundance-agriculture-bananas-batch-264537/

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