Le genre musical dont joue un musicien modifierait son cerveau d’une façon particulière.

Un musicien et un non-musicien n’auront pas tout à fait la même appréciation des notes ou du rythme. Et bien plus que de toucher seulement au seul registre musical, jouer de la musique pourrait avoir un impact sur certaines fonctions cognitives. Mais existe-t-il des différences entre les musiciens ?

Chronique diffusée le 10 mars 2018. L’ensemble des chroniques est accessible sur une playlist dédiée.

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Pour aller plus loin :

« Jazz ou classique ? Le genre modifie le cerveau des musiciens », par Anne Debroise. Publié sur Science et vie, le 16/02/2018. Consulté le 16/03/2018. Lien : https://www.science-et-vie.com/cerveau-et-intelligence/jazz-ou-classique-le-genre-modifie-le-cerveau-des-musiciens-10484.

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Sources :

Beaty R.E. (2015). The neuroscience of musical improvisation. Neuroscience and biobehavioral reviews, 51 : 108-117.

Bianco R. et al. (2018). Musical genre-dependent behavioural and EEG signatures of action planning. A comparison between classical and jazz pianists. Neuroimage, 169 (1) : 383-394.

Clarke E. et al. (1997). Talking fingers : an interview study of pianists’ views on fingering. Musicae scientiae, 1 (1) : 87-107.

Drost U.C. et al. (2005). Action-effect coupling in pianists. Psychological research, 69 (4) : 233-241.

Koelsch S. et al. (2011). Toward a neural basis of music perception – A review and updated model. Frontiers in psychology, 2 (110) : 1-20.

Novembre G. et Keller P.E. (2014). A conceptual review on action-perception coupling in the musicians’ brain : what is it good for ? Frontiers in human neuroscience, 8 (603) : 1-11.

Peckel M. et al. (2014). The impact of the perception of rhythmic music on self-paced oscillatory movements. Frontiers in psychology, 5 (1037) : 1-16.

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Source image :

Michał Jałochowski – Music sheet page (2013). https://pixabay.com/en/scores-music-background-composing-1695041/

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