Marcher, se promener en forêt, pourrait, au niveau cérébral, entrainer bien plus qu’un simple sentiment d’apaisant.

Bien que des environnements urbains puissent présenter de nombreux avantages, il est intéressant de considérer le fait que les environnements naturels, comme les forêts en plus d’avoir une importance considérable pour la planète pourraient également agir sur notre équilibre mental.

Chronique diffusée le 17 mars 2018. L’ensemble des chroniques est accessible sur une playlist dédiée.

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Pour aller plus loin :

« Comment la nature fait du bien à notre santé mentale », par Sophie Bartczak. Publié sur Numerama, le 29/07/2015. Consulté le 23/03/2018. Lien : https://www.lepoint.fr/sante/comment-la-nature-fait-du-bien-a-notre-sante-mentale-29-07-2015-1953183_40.php.

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Sources :

Bratman G.N. et al. (2015). Nature experience reduces rumination and subgenual prefrontal cortex activation. Proceedings of the national academy of sciences, 112 (28) : 8567-8572.

Coryell W. et al. (2005). Subgenual prefrontal cortex volumes in major depressive disorder and schizophrenia : diagnostic specificity and prognostic implications. The american journal of psychiatry, 162 (9) : 1706-1712.

Peen J. et al. (2010). The current status of urban‐rural differences in psychiatric disorders. Acta psychiatrica scandinavica, 121 (2) : 84-93.

Turner W.R. et al. (2004). Global urbanization and the separation of humans from nature. Bioscience, 54 (6) : 585-590.

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Source image :

Vanja Terzic – Green leafed tree (2016). https://www.pexels.com/photo/nature-forest-trees-park-38136/

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