Le simple fait de regarder une forêt pourrait avoir des conséquences assez impressionnantes.
Après une promenade en forêt, vous vous êtes peut-être senti plus détendu, plus à l’aise, en d’autres termes, vous vous êtes senti apaisé. Mais d’où peut bien provenir cette sensation ?
Chronique diffusée le 22 juin 2019. L’ensemble des chroniques est accessible sur une playlist dédiée.
Pour aller plus loin :
« Les bonnes ondes de la nature » par Alix Cosquer. Publié sur Cerveau et psycho, le 17/04/2019. Consulté le 01/07/2019. Lien : https://www.cerveauetpsycho.fr/sd/sante-bien-etre/les-bonnes-ondes-de-la-nature-16800.php.
Sources :
Atchley R.A. et al. (2012). Creativity in the wild : improving creative reasoning through immersion in natural settings. Plos one, 7 (12) : 1-3.
Bratman G.N. et al. (2015). Nature experience reduces rumination and subgenual prefrontal cortex activation. Proceedings of the national academy of sciences, 112 (28) : 8567-8572.
Chen Z. et al. (2016). Enhanced functional connectivity properties of human brains during in-situ nature experience. PeerJ, 4 (2210) : 1-25.
Coryell W. et al. (2005). Subgenual prefrontal cortex volumes in major depressive disorder and schizophrenia : diagnostic specificity and prognostic implications. The american journal of psychiatry, 162 (9) : 1706-1712.
Song C. et al. (2018a). Physiological effects of visual stimulation with forest imagery. International journal of environmental research and public health, 15 (2) : 1-11.
Song C. et al. (2018b). Psychological benefits of walking through forest areas. International journal of environmental research and public health, 15 (12) : 1-10.
Source image :
Felix Mittermeier – Worms eyeview of green trees (2018). https://www.pexels.com/photo/worms-eyeview-of-green-trees-957024/
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Christophe Rodo (1 juillet 2019). L’apaisante forêt (épisode 108). Cerveau en argot. Consulté le 14 février 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/mkkv